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Voilà, je vais vous raconter l'histoire d'une rencontre que j'ai faite il y a quelques mois sur pcc.
Pas de portrait sur son profil mais une description allèchante de ce qu'il avait dû être il y a une vingtaine d'années, brun et cheveux bouclés, 1,80 m et j'en passe...
Mais ce qui m'a le plus intriguée c'est le fait qu'il attendait de la femme qu'il souhaitait rencontrer beaucoup d'ouverture d'esprit pour une rencontre hors du commun.
Au bout de quelques messages de correspondance il m'annonça qu'il avait le syndrome de je ne sais plus quel Grec et dont j'ai oublié le nom, qui consiste à jouir en regardant sa bien-aimée se faire aimer par d'autres hommes, bien montés en général, tous types confondus.
Il existerait des clubs dans Paris pour satisfaire ce genre de lubie, il en connaissait quelques uns et aurait mis sa main au feu quant au sérieux et à la tenue de ces établissements.
Je trouvais cette idée bizarre et me demandai aussitôt si j'aurais pu faire une chose pareille.
Ma sensualité débordante me laissa entrevoir quelques scênes, mais la dizaine d'hommes qu'il m'avait annoncée dépassait la mesure.
Nous nous vîmes sur Skype et peu après Noel, j'allai à Paris, en famille avant de rentrer dans mes contrées froides et enneigées du Nord de l'Allemagne.
Je lui envoyai donc un sms pour lui donner rendez-vous vers 16h au centre Beaubourg à la cafétéria. Ce fut facile de trouver une occasion de m'échapper, car n'ayant pas le goût aigü de faire les magasins, je laissai à mon mari le soin de faire chauffer sa carte bancaire pour notre fille et je pris le métro direction Beaubourg. Il était 17h passées lorsque j'arrivai sur place et je n'avais aucune idée s'il venait ou pas du fait qu'il ne m'avait pas répondu.
Je m'asseyai donc dans la cafétéria, située en hauteur pour bien observer les portes d'entrée.
Je voulus m'acheter quelque chose et me décidai pour un énorme yaourt aux fruits frais.
Je commençai à regarder sur mon portable quand soudain une voix connue m'appela doucement et un homme d'une cinquantaine d'années, en manteau et bonnet se tenait devant moi, serrant un petit sac à dos vide sur son ventre. Je me levai pour lui tendre la main et l'inviter à s'asseoir.
Il était arrivé une heure plus tôt et ne me voyant pas, en avait profité pour visiter l'exposition permanante.
Je lui demandai s'il voulait prendre quelquechose à boire et à manger mais il refusa. Génée par le fait que je me régalais avec mon yaourt, je lui proposai d'aller chercher une cuillère pour le partager. Il me répondit avant même de s'asseoir que ce n'était pas étonnant que j'étais si enveloppée si je ne me nourrissais que de yaourt à la crème. J'ignorai cette remarque peu galante et me dis que malgré ses airs intello-timides, il allait droit au but. Je lui conseillai ce yaourt qu'il alla se chercher sans en dire plus.
Lorsqu'il enleva son manteau je remarquai ses membres maigres perdus dans un jean un peu trop large, mais un regard assez insistant et très profond. Son timbre timide contrastait avec son regard. Il me fixait droit dans les yeux et ne les quitta que lorsque moi-même je me décidai à enlever mon manteau. Nous parlâmes de choses et d'autres et lorsque les 19h30 approchèrent il me proposa de venir chez lui, que sa compagne n'était pas là et que nous aurions le temps de faire plus ample connaissance..... (eh eh eh oui quand même, j'avais bien fait d'enlever mon pardessus, lui donnant un aperçu de mes atouts et laissant échapper quelques phéromones et atomes crochus...)
(Mal)heureusement, je devais retrouver les miens place d'Italie vers 20h. Nous nous levâmes et sortîmes du centre Pompidou. En direction de la première station de métro, nous marchions assez vite. Il était à mes talons et suivait exactement le rythme de mes pas. Nous primes la même ligne mais chacun dans la direction opposée. Nous nous embrassâmes comme si nous nous connaissions depuis toujours, sur les joues et nous quittâmes.
Je ne reçus de ses nouvelles qu'après le jour de l'an, où il me raconta que ses amis et lui avaient bien boituraillé.
On en apprend des trucs sur PCC!
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Voilà, je vais vous raconter l'histoire d'une rencontre que j'ai faite il y a quelques mois sur pcc.
Pas de portrait sur son profil mais une description allèchante de ce qu'il avait dû être il y a une vingtaine d'années, brun et cheveux bouclés, 1,80 m et j'en passe...
Mais ce qui m'a le plus intriguée c'est le fait qu'il attendait de la femme qu'il souhaitait rencontrer beaucoup d'ouverture d'esprit pour une rencontre hors du commun.
Au bout de quelques messages de correspondance il m'annonça qu'il avait le syndrome de je ne sais plus quel Grec et dont j'ai oublié le nom, qui consiste à jouir en regardant sa bien-aimée se faire aimer par d'autres hommes, bien montés en général, tous types confondus.
Il existerait des clubs dans Paris pour satisfaire ce genre de lubie, il en connaissait quelques uns et aurait mis sa main au feu quant au sérieux et à la tenue de ces établissements.
Je trouvais cette idée bizarre et me demandai aussitôt si j'aurais pu faire une chose pareille.
Ma sensualité débordante me laissa entrevoir quelques scênes, mais la dizaine d'hommes qu'il m'avait annoncée dépassait la mesure.
Nous nous vîmes sur Skype et peu après Noel, j'allai à Paris, en famille avant de rentrer dans mes contrées froides et enneigées du Nord de l'Allemagne.
Je lui envoyai donc un sms pour lui donner rendez-vous vers 16h au centre Beaubourg à la cafétéria. Ce fut facile de trouver une occasion de m'échapper, car n'ayant pas le goût aigü de faire les magasins, je laissai à mon mari le soin de faire chauffer sa carte bancaire pour notre fille et je pris le métro direction Beaubourg. Il était 17h passées lorsque j'arrivai sur place et je n'avais aucune idée s'il venait ou pas du fait qu'il ne m'avait pas répondu.
Je m'asseyai donc dans la cafétéria, située en hauteur pour bien observer les portes d'entrée.
Je voulus m'acheter quelque chose et me décidai pour un énorme yaourt aux fruits frais.
Je commençai à regarder sur mon portable quand soudain une voix connue m'appela doucement et un homme d'une cinquantaine d'années, en manteau et bonnet se tenait devant moi, serrant un petit sac à dos vide sur son ventre. Je me levai pour lui tendre la main et l'inviter à s'asseoir.
Il était arrivé une heure plus tôt et ne me voyant pas, en avait profité pour visiter l'exposition permanante.
Je lui demandai s'il voulait prendre quelquechose à boire et à manger mais il refusa. Génée par le fait que je me régalais avec mon yaourt, je lui proposai d'aller chercher une cuillère pour le partager. Il me répondit avant même de s'asseoir que ce n'était pas étonnant que j'étais si enveloppée si je ne me nourrissais que de yaourt à la crème. J'ignorai cette remarque peu galante et me dis que malgré ses airs intello-timides, il allait droit au but. Je lui conseillai ce yaourt qu'il alla se chercher sans en dire plus.
Lorsqu'il enleva son manteau je remarquai ses membres maigres perdus dans un jean un peu trop large, mais un regard assez insistant et très profond. Son timbre timide contrastait avec son regard. Il me fixait droit dans les yeux et ne les quitta que lorsque moi-même je me décidai à enlever mon manteau. Nous parlâmes de choses et d'autres et lorsque les 19h30 approchèrent il me proposa de venir chez lui, que sa compagne n'était pas là et que nous aurions le temps de faire plus ample connaissance..... (eh eh eh oui quand même, j'avais bien fait d'enlever mon pardessus, lui donnant un aperçu de mes atouts et laissant échapper quelques phéromones et atomes crochus...)
(Mal)heureusement, je devais retrouver les miens place d'Italie vers 20h. Nous nous levâmes et sortîmes du centre Pompidou. En direction de la première station de métro, nous marchions assez vite. Il était à mes talons et suivait exactement le rythme de mes pas. Nous primes la même ligne mais chacun dans la direction opposée. Nous nous embrassâmes comme si nous nous connaissions depuis toujours, sur les joues et nous quittâmes.
Je ne reçus de ses nouvelles qu'après le jour de l'an, où il me raconta que ses amis et lui avaient bien boituraillé.
On en apprend des trucs sur PCC!
